concours de manipulation (suite ), (PV: la roi )

*marche avec cet inconnu dans les jardins qu'elle a rencontré dans la galerie des glaces*
*secoue ses cheuveux*

-C'est magnifique comme endroit je voudrais ne jamais partir

*commence son stratagème préféré : laisser penser à l'homme qu'il a le dessus et qu'il lui plaît, que ce soit vrai ou faux*

-Quelle idée vous avez eu je n'aurais jamais pensé à cela !

*est sincèrement émerveillée*

*a la gorge nouée:la jeune fille à coté de lui à raison, ces jardins sont magnifiques*
*d'une voix calme et posée qui ne laisse pas traduire son émotion*
-Oui, vous avez raison. C'est superbe.

*un valet passe par là, il s'arrête en les voyant; s'incline devant Juan-carlos si bas que sa tête touche le sol; se redresse, repart*

*Le Roi jette un coup d'oeuil à la belle inconnue, éspérant qu'elle n'ait rien vu : d'un coup, il lui semble crucial qu'elle ne comprenne pas qui il est. Il réfléchit un instant à la raison qui le pousse à agir ainsi. Soudain, il comprend :*

Contrairement à tout le monde, cette jeune femme ne m'a pas abordé pour mon rang,puisqu'elle l'ignore, mais pour ma personnalité, ou alors mon apparence, je n'en sait rien. Quoi qu'il en soit,c'est si rare que je désire en profiter le maximum.

*elle se colla à lui *

-Votre compagnies est agréable, je suis tellement heureuse içi

*elle chercha à se prouver qu'elle pensait vraiment ce qu'elle venait de dire mais ne parvint même pas à déterminer si c'était vrai ou faux*

*sourit (sa fille n'est pas la seule à obtenir de telles attentions, alors!)*

-C'est vrai que c'est un endroit merveilleux...
*pause*

*décide de faire une petite plaisanterie pour se mettre en valeur*
-Et que je suis merveilleux!

*attend qu'elle rigole*


HJ : Tu peux commencer à te poser des questons sur mon identité? Parce-qu'il va bien falloir que tu la découvres un jour!


HJ 2: Euh... c'était le Roi qui parlait!

*Elle se mit à rigoler, son rire sonnait crystallin et toujours vrai lorsqu'elle se mettait en tête de faire semblant, lorsque son rire sonnait faux, c'était lorsqu'elle ne faisait pas semblant, mais bon nombre de gens ne l'avaient jamais vu sourire pour de vrai*

-Oui monsieur il n'y a que vous içi !

*le regarde à travers ses cils*

-Qui êtes-vous pour avoir autant d'humour ?

*sourit (là, c'est plus des crampes, c'est pire!) d'un air interrogateur*

-Vous êtees sure de vouloir savoir qui je suis?

*prend un air mystérieux*

*bat des paupières discrètement (toujours être discrète pour se faire plus remarquer)*

-Bien sûr.

*le regarde avec malice*

*son coeur se gonfle de fierté (je dois préciser : une fierté égocentrique)*
*affiche un sourire triomphant (mais pas trop, pour ne pas qu'elle le prenne mal)*
*redresse la tête et le dos, avec l'ar de celui qui va dire un truc super important*

*annonce d'une voix royale*
-Moi, Mademoiselle, je suis Juan-Carlos de Bourbon : le Roi de France!

*attend avec une impatience curieuse l'effet de ses paroles*

HJ: je sens qu'il va y avoir un gros blanc !!!!!!!

*Elisa resta immobile pendant près de 2 minutes entières, le genre de minutes où on a l'impression que chaque seconde vaut bien une minute à elle seule, pour la première fois de sa vie dans son art de grande séductrice prête à presque tout sauf à perdre son honneur c'est pourquoi elle se faisait toujours désirée et non utilisée comme une femme de petite vertue car c'était cela pour elle "perdre son honneur" Ely était surprise, elle ne savait quoi faire, la reine était son amie, du moins la seule personne pour laquelle elle n'avait pas ressentie de l'indifférence dés le premier abord, et voilà que l'homme qu'elle s'était mise en tête de séduire était son mari, même plus que ça son ROI ... elle ouvrit un peu plus son sourire, perdant toute sincérité envers cet homme à qui, sans savoir pourquoi, elle en voulait*

-Vous êtes donc ce si respectueux personnage ? Je suis impréssionnée Monsieur, vous avez su préserver la surprise jusqu'au bout.

*elle passa une main dans les boucles de ses cheuveux, personne en cet instant n'aurait pu deviner que tout ce qu'elle venait de dire comme de faire n'avait été que pure hypocrisie, elle battit des paupières encore une fois et se décolla de lui*

-Votre femme est d'ailleurs une dame extraordinaire

*secoue ses cheuveux*

*à l'annonce de sa femme, il soupire (à voix haute) et grimace (intérieurement)*
*est même un peu dégouté : quand elle a parlé de la Reine, respect et sympathie se sont mêlés dans sa voix... Elle ne voudra donc jamais être celle qui... enfin, voila, quoi.*

J'ai bien vu que je l'ai déçue, qu'elle m'en veut... dans ses yeux. Elle attendait surement mieux de moi. Je vais devoir essayer de me racheter. J'ai vraiment envie de me racheter, ce n'est pas une question d'étiquette. En même temps, j'ai aussi envie de dire qu'elque chose... De dire ce que je pense, là, maintenant.

*dit d'une voix lasse, monocorde, comme s'il récitait un discours*

-Oui, mon épouse est extraordinaire. Elle est merveilleuse, époustouflante, sympathique, drôle, belle, intelligente, et c'est la plus fabuleuse Reine qu'on ai jamais vue régner sur la France.

*Il plante son regard dans celui de sa compagne, en se disant que elle n'était pas le genre de femme à baisser les yeux. Et il continue*

-Et notre fille est un ange, elle fait la fierté de tout le royaume avec son charme, son esprit, son innocence, sa promesse d'être jolie comme un coeur et celle d'être une Reine à la hauteur de sa mère.

*change de regard : un instant plus tôt, c'était le regard "écoute ce que j'ai sur le coeur, je fais un monologue". Maintenant, c'est le regard "ce que je vais dire me désèspère*
*ferme les yeux un instant, sans pour autant changer de regard en les rouvrant*

-Voyez-vous ce que je veux dire?

*Elisa allongea imperceptiblement les yeux, elle ressemblait maintenant à un chat en pleine chasse qui cherche à aiguiser sa vue, elle observa les yeux noirs de désespoir du roi et prit la parole d'une voix aux nuances spirituelles*

-Je comprend Monsieur, vous devez former un couple magnifique avec cette dame si éblouissante .

*Nul n'aurait pu deviner ses intentions en cet instant , elle pouvait , être entrain de manipuler cet homme comme elle pouvait être entrain de tout simplement se régaler de sa peine*

-Mais il est clair que le pouvoir peut, à tout moment , peser à un homme, fut-il fait de roc, de glace, ou de chair.

*passe une main dans ses cheuveux, qui prenaient d'étranges reflets roux sous le soleil couchant*

-Mais j'espère de tout coeur que vous serez capable de garder la tête hors de l'eau, votre femme vous y aidera surement.

*elle se rapprocha de Juan avec une surprenante lumière dans les yeux*

*se régale des compliments à double sens que lui sert la magnifique jeune femme qui se tient en face de lui*
*bizarrement, se sent bien*

*prend un regard songeur*

-Ma femme m'aidera... oui, ma femme...

*plante ses yeux dans ceux de sa compagne, éspérant qu'elle saisisse, comme il l'avait saisi, le double sens de ses paroles*

*à une soudaine impulsion*
*lève la main*

*efflleure d'une caresse le bras de la jeune femme*

*Elisa sourit gentilment à cet homme dont, elle l'avait deviné à présent, le couple n'était pas au mieux, elle savait désormais que sa femme ne l'aimait pas d'après le sentiment de tristesse qui s'était emparé du roi, elle joua un peu avec ses cheuveux et s'éloigna encore un peu du roi*

-J'ai adoré cette soirée en votre compagnie, je m'en vais dans mes appartements, la faim commence à venir et l'air du soir me donne froid .

*commence à partir dans la direction du château, elle sentait une pulsation insistante à l'endroit où le roi l'avait touché, et elle commençait en effet à avoir faim, au dernier moment, elle se retourna, elle s'aperçut que le roi, l'ayant suivi semblait prêt à l'aborderet elle lui chuchota d'une voix étouffée et sous-entendante*

-Il était agréable de parler avec vous .

*elle tourna les talons*

Là, elle m'offre une occasion sur un plateau en or... il s'agit de trouver les bonnes paroles pour ne pas la manquer!

*il appelle la jeune femme*
-Mademoiselle!

*elle se retourne vivement et le regarde d'un air interrogateur (et séducteur)*

-Je ne me sens point d'humeur solitaire, et ce soir, il n'y a point de soirée, de fête ou de bal. Vous plairait-il donc de souper en ma compagnie dans mes appartements ?

*Elisa considéra son interlocuteur avec surprise et regarda autour d'elle, ayant l'air de réfléchir à la proposition qu'elle venait de recevoir, elle remarque du coin de l'oeil que le roi avait l'air d'attendre avec impacience sa rèponse*

*elle fixa sur lui des yeux sombres et malicieux et répondit d'une voix musiquale, il était parfois intéressant d'observer les changements de timbre d'Elisa*

-Oui votre offre semble intéressante Monsieur ...

*elle mit une main sur sa nuque, mais quelque chose la fit imperceptiblement tréssaillir et elle la retira, Juan ne s'en était pas aperçut *

*Juan-Carlos sourit, charmeur*

-Elle l'est. Aujourd'hui n'est pas un de ces jours ou la famille royale doit dîner dans une grande salle, avec mille personnes qui les regardent ces gradins et qui discutent de la façon dont Madame a coupé son morceau de poulet.

*pause*

-J'ai donc, comme tout les autres membres de la royauté, le droit à un souper en privé dans mes appartements, ou j'invite qui bon me semble.

*Elisa sourit à son tour d'un air charmeur, ce monsieur qui se voulais seducteur, promettait de rendre la chasse plutôt drôle, elle ne bougea pas de l'endroit où elle était, et c'est avec une certaine satisfaction qu'elle le vit faire un pas vers elle*

-Alors dans ce cas j'accepte d'être la personne qui commentera votre façon de tenir votre couteau.

*elle lui lança un regard sous-entendant mais ognora le coude qu'il lui présenta, de façon imperceptible, elle le suivit vers le château*

HJ: Tu fais le topic ?!

HJ : Ok, mais d'abord, on doit faire qqc dans celui-là : qqc de primordial qu'on a oublié...


*est très satisfait*
*mais tout de même un peu déçu qu'il ait refusé son coude*

Ce n'est pas bien grave... cela viendra! Enfin, j'espère...

*soudain, il arrête de marcher*
*il se tourne vers la jeune femme qui l'accompagne, et qui le regarde d'un air interrogateur, ses prunelles semblant vouloir dire "Quoi, qui y a-t-il?"*

*s'exclame*

-Ah, mademoiselle! Je suis un goujat! Je viens de m'appercevoir à l'instant que j'avais proprement, obnubilé par votre présence, oublié de vous demander comment vous appelez-vous! C'est une faute impardonnable, et je suis navré de l'avoir commise.

*a un sourire lumineux*

-Réparons donc cette monumentale erreur. Mademoiselle, je vous ait indiqué que j'étais le Roi de France, mais... qu'en est-il de vous-même?

*Elisa rigola avec légereté et fixa le roi avec un regard rieur*

-Je ne suis pas une grande dame, je m'appelle Elisa de Brocantella et je viens d'arriver à la cour.

*Elle observa l'homme en face d'elle, son regard semblait plein d'espoir, il voulait être aimé. Elisa savait donc pertinemment que pour se faire apprécier de ce personnage, elle devait éviter de mensionner son titre de roi. *

-C'est pourquoi je suis flattée qu'un homme m'invite à souper avec lui.